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L'histoire de mon guerrier

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L'histoire de mon guerrier Empty L'histoire de mon guerrier

Message par Rialon Mer 27 Fév - 0:34

Bien le bonjour, bien le bonsoir.
Je suis un grand fan d'heroic fantasy et je regarde beaucoup les films dans le genre du seigneur des anneaux, je lis des livre comme la saga de l'Héritage (Eragon), et il fut un temps ou j'écrivait également ! =)
Ce qui suit relate l'histoire de mon premier war tel que je l'avait imaginer. parti initialement d'un background, le nombre de détails de cette histoire en fait presque un début de livre (pour l'instant).
Les personnages sont réels. ce sont les personnages de mes potes et je me suis éforcé au mieux de retranscrire leur caractères, métiers, et manière de jouer.
Sur ce, ENJOY!!! =)




L'histoire que je vais vous conter est celle de l'un des plus grand guerrier à avoir fouler le sol d'Azeroth.
Cet être hors du commun naquit dans la grande et dangereuse région de la marche de l'ouest. Une contrée qui n'était alors peuplée que de coyotes, vautour et autres prédateurs des plaines. Mais elle comptait aussi un petit bourg nommé Ruisselune et quelques fermes isolées où il faisait bon vivre. De temps en temps il était possible d'observer des bateau passant près de la côte.
Au sud de Ruisselune, juste au sommet de la colline, vivait un brasseur nain venu chercher des herbes qui, disait-il, était les meilleurs dont il pouvait rêver pour distiller de la bière. Il s'appelait Tristevin Tonnebière et il était très connu dans la marche car il réclamait sans cesse du houblon à tous les voyageurs qui passaient.
Mais ce n'était pas par hasard, car avec ce que lui apportaient le rare voyageurs qui en venaient à le rencontrer, il arrivait à créer une de ces bières dont les nains ont le secret. Un talent que mêmes les elfes, leurs rivaux de toujours, sont obligés de leur accorder.
À moindre distance de cette colline se trouvait la mer et un petit phare. Les propriétaire du phare étaient un jeune couple marié un ans auparavant.
La femme appelée Noliana n'était certes pas d'une grande beauté et n'avaient guère d'autres particularités que son esprit vif par rapport aux autres femmes.
Son mari, Ferlion, était d'un tout autre tempérament. Il avait un comportement plus rustre et était souvent l'acteur de bagarres mémorables dans la taverne du village.
Un jour que Noliana était partie pour faire une commande de fers a cheval aux carmines, Ferlion reçu une missive de la part de son frère.
Celui-ci lui annonçait la mort de leur père et le pressait de venir le rejoindre dans les hautes terres d'Arathi pour assister à ses funérailles.
Il partit donc sans perdre de temps. En oubliant même de prévenir sa bien-aimée.
Noliana ne put que constater à son retour la disparition de son mari. Elle attendit jours et nuits, marées après marées, entretenant la phare non-plus pour aider les bateau, mais pour que son mari puisse la rejoindre s'il voyait cette lumière.
Un mois après la disparition de Ferlion, et toujours sans nouvelles, elle reçu la visite d'un elfe qui après un long voyage en mer ne cherchait qu'à se reposer.
Elle lui accorda bien sûr l'hospitalité bien que ce fut la première fois qu'elle rencontrait l'un des représentant de cette race des plus anciennes.
Noliana tomba immédiatement sous le charme, ce qui n'était pas pour déplaire a ce personnage de nature capricieuse comme tous ceux de sa race.
Il lui offrit donc une nuit d'amour, bercés qu'ils étaient, par le doux son des vagues venant terminer leurs courses écrasées contre les rochers.
Le lendemain, au réveil de l'innocente jeune femme, l'elfe avait disparu.
Ayant honte d'être aussi facilement tombée sous le charme de ce personnage et
se reprochant ainsi d'avoir aussi facilement oublié son mari, qui, malgré les apparences, pouvait toujours revenir. Après tout... seulement un mois s'était écoulé.
Ainsi tourmentée, elle continua à entretenir le phare. Aidée par nombre de ses voisins ayant eu pitié d'elle. C'est ainsi qu'elle vit, au fil des mois, son ventre grossir et s'arrondir.
Un matin, elle apprit par sa voisine, Daphne Morpuits, que Ferlion était de retour à Ruisselune et qu'il ne tarderait pas a venir voir sa femme.
À son arrivée, il ne put que constater le ventre de Noliana, mais il réagit étonnement bien, car après tout, c'est lui qui était parti sans prévenir et il en avait conscience.
Il élevèrent ainsi leur enfant, qui était en garçon, pendant quinze longues années et l'appelèrent Rialon.
Il avait en tous points l'apparence d'un humain hormis sa musculature bien plus développée et ses yeux verts en amende, comme ceux d'un félin.
Mais le monde d'Azeroth subissait bien des peines.
Une terrible épidémies avait frappée les contrées du nord et un mal ancien s'attaquait maintenant au royaume des hommes.
Les voyageurs de passage a Ruisselune racontaient des histoire de nécromanciens sortis tout droit de l'enfer, levant des armées de squelettes prêts
à terrasser quiconque s'opposaient à eux.
Puis vinrent les nouvelles de la chute de Lordaeron, de la trahison du prince Arthas, de la mort du roi Terenas et du meurtre d'Uther le porteur de lumière, grand chef de l'ordre des paladins de la main d'argent.
La guerre se faisait sentir partout, la conscription des troupes laissait les terres du sud sans défenses hormis quelques milices crées avec l'arrivée des gnolls venant des collines et des murlocs sortants de leurs récifs.
Un jour qu'un affrontement violent eu lieu entre la milice de la marche et les murlocs venus s'installer à Longrivage, Ferlion et Noliana envoyèrent Rialon se réfugier chez Daphne Morpuits. Et leurs peurs s'avérèrent fondées, car la nuit même un murloc appelé le vieux Troubloeil força les deux amoureux à fuir. Mais ceux-ci, bien que sachant que le murloc les tuerait, retournèrent au phare pour l'allumer afin qu'aucun bateau ne s'écrase contre les récifs.
Leur geste, aussi héroïque qu'il puisse être, leur coûta leurs vies.
Quelques jours après ce drame, une confrérie crée par le connu Edwin VanCleef, grand architecte de la cité de Hurlevent, s'empara par les armes de Ruisselune. Edwin en fit leur quartier général et mit tout en oeuvre pour nuire au roi qui, d'après lui, n'avait pas tenu ses promesses. Rialon réussit cependant a fuir et a rejoindre l'abbaye de comté du nord dans la forêt d'Elwyn où il vécut pendant trois années de sa vie. Il s'entraina au maniement des armes pendant tout ce temps avec, pour seuls objectifs, la destruction de la confrérie qui avait annexée la marche de l'ouest et la mort du vieux Troubloeil.
Un jour enfin une opportunité s'offrit à lui, de se venger. Il se joignit à un groupe de personne voulant eux aussi la tête d'Edwin VanCleef pour des raisons diverses.
Le groupe comportait un nain paladin nommé Beryllius qui voulait la mort de VanCleef car celui-ci avait un jour marché sous les yeux choqués du nain sur une fleure d'une grande rareté qu'il avait cherché pendant presque deux ans de sa vie.
Il y avait aussi un elfe nommé Ferliniath qui voulait simplement piller l'entre de ces détrousseurs qui avait amassés de formidables richesses au cour des années.
Et pour finir, un draenei appelé Salamanders qui s'était retrouvé là par hasard.
Mais ayant enfin atteint Ruisselune le doute s'installa.
- Eh bien Rialon! Montres nous où il faut aller toi qui est né ici! S'exclama Beryllius.
- Je ne suis pas né ici, mais dans un phare sur la côte. Bien que je connaisse parfaitement la ville de mon enfance, elle a bien changée...
- Alors attrapons ce gaillard là-bas et demandons lui! J'ai la capacité interrogation/torture!
- Pour une fois qu'un nain peut se rendre utile... Se moqua Ferliniath.
- Très bonne idée maître nain! Je m'en vais quérir cet homme!
- On lui laisse le soin d'accomplir cette mission? Demanda Rialon. Je n'ai pas confiance en ce Draenei.
- Oui. Répondit simplement Ferliniath.
S'ensuivit alors un terrible interrogatoire dont le nain, faisant preuve de toute son imagination fini par arraché les informations tant convoités par le groupe.

Les mortemines

- Alors c'est ici que vivent ces... ces... ces ANTIFLEURISTES!? Je trouve qu'ils ont plutôt bon goût... Dit Beryllius en contemplant la magnifique mine créée par les odieux défias.
- Stupide nain! Cria Ferliniath. Tu es ici pour venger ta fleure ou pour les féliciter pour l'endroit où ils ont choisis d'élire domicile? Tu ferais mieux de te concentrer sur notre but, tuer Edwin Vancleef!
Le nain regarda l'elfe avec méprit et répondit simplement:
- Les buts c'est pour les faibles!
Le groupe choisit de ne pas continuer cette conversation qui n'aboutirait à rien suite à la remarque totalement inappropriée du nain.
Rialon ayant fort bien hériter de son géniteur une capacité pour la logique exceptionnelle, Il sût faire le choix, au premier croisement rencontré, de mener le groupe du côté qui n'était pas infesté de goules vicieuse et de squelettes.
Ils arrivèrent, grâce à ce choix judicieux, devant l'entrée du tunnel qui allait les mener tout droit à Vancleef. À peine entré, ils durent faire face à des mineurs désireux de leur barrer la route, trop heureux d'échapper à leur travail. Leurs gardiens eux aussi se joignirent à eux afin de tuer rapidement ces importuns. Rialon attrapa le premier mineur et avec une force prodigieuse lui fracassa le crâne contre l'un des murs de la mine. Il en tua ensuite deux autres à l'aide d'une épée bâtarde ramassée sur le cadavre d'un des gardiens que Beryllius venait de tuer en commençant par lui donner un énorme coup de poing qui équivalait à prendre un coup de marteau à mi-hauteur d'homme puis en l'étouffant avec une énorme poignée de terestine fraichement sortie de sa besace. Salamanders lui invoqua la puissance de la foudre et envoya une énorme boule d'énergie en direction de l'un des mineurs. Il atteint un rat qui était à deux mètres de sa cible initiale mais fini par sortir un marteau avec lequel il terrassa ce même mineur.
Le groupe avançait à vivent allure mais fini par être stoppé devant une salle ou résidait Rahk'zor, un ogre serviteur de Vancleef.
- Qu'allons-nous faire? S'alarma Salamanders, peut désireux d'affronter cet énorme tas de muscle.
- Eh bien... Nous allons commencer par le tuer puis nous allons trouver ce Vancleef pour lui voler son or! S'exclama Ferliniath.
- Bien parlé elfe! Je vais faire regretter à Vancleef le jour où il est venu détruire Ruisselune!
Ils n'eurent pas le temps de finir leur phrase car Beryllius avait charger le monstre en le voyant dévorer à pleine dent un ragoût aromatisé au feuillargent.
Le combat dura une bonne heure. L'ogre était accompagné de deux défias armés d'arcs qui moururent très vite sous les coups de Ferliniath qui lorgnait dangereusement sur leurs bourses imposantes.
Rahk'zor lui se défendit bien mieux.
- Vancleef paie bien pour vos têtes! Criait l'ogre.
- Au moins Vancleef à déjà eu vent de notre entreprise et à surement envoyé d'autres hommes pour nous barrer la route!
L'ogre finit par mourir sous les assauts répétés d'un Rialon hors de lui.
Ils continuèrent leur périple et rencontrèrent dans l'un des recoins de la mine, un mineur bien plus hargneux que les autres. C'était le mineur Johnson. Ferliniath fit preuve, à la fin du combat, d'une rapidité époustouflante pour le fouiller. Ils arrivèrent ensuite dans une étrange salle qui ressemblait à une scierie et qui en était surement une, mais dans une mine, la question que tous se posait était : « Mais où trouvent-ils des arbres comme ceux-ci?! »
La mine était exclusivement remplie d'artisans gobelins et d'une étrange machine destinée à découper la bois commandée par Sneed, le gobelin qui dirigeait les opérations ici.
Le groupe s'offrit un joyeux carnage dans cette salle. En effet, Rialon commença par attraper un gobelin à la gorge avant de l'envoyer se faire couper en morceaux sur le déchiqueteur d'arbre de Sneed. Puis Salamanders commença à frapper le premier ennemi à portée de coups en chantant une petite mélodie entraînante pour le groupe. Beryllius lui attrapa l'une des hache que les gobelins utilisaient pour couper les énormes tronc d'arbres et taillada ce qui restait justement de ce même arbre. Sa haine envers les elfes le poussait à s'attaquer à celui-ci plutôt qu'aux petits êtres visqueux qui courraient en tous sens pour échapper aux coups de Rialon qu'ils appelaient « Gluigrle » ou « Le Fou » si on traduit.
Sneed regarda sans broncher ses acolytes mourir les uns après les autres. Il s'amusait de ce spectacle et attendait que le groupe soit bien fatigué avant de se lancer à son tour dans la bataille.
Soudain, Rialon défia Sneed en criant:
- Ose m'affronter Gobelin! Que je puisse te faire regretter d'avoir choisit pour maître un lâche tapit dans une mine doublé d'un conspirateur contre son peuple!
- Hé! S'écria le nain indigné.
- Tu m'as l'air d'être fatigué et tu comptes en plus m'affronter alors que tu n'es armé que d'une misérable épée?
- On dirait que tu n'as pas idée de ce que l'on peut faire armé d'une épée!
Rialon sauta, l'arme ensanglantée au poing, et frappa aussi vif que l'éclair les jointures de la machine du gobelin.
La machine fût détruite, mais le Gobelin réussit à se relever et à se mettre en garde face à l'humain qui venait vers lui.
- BOUH ! Cria l'humain.
C'est ainsi que décéda Sneed le terrible Gobelin en chef qui dirigeait les opérations se déroulant dans la Scirie... : D'une crise cardiaque foudroyante.
Rialon perdit ses moyens en voyant le mort qui, croyait-il, jouait la comédie afin que le groupe passe son chemin.
Mais non, après de plus amples recherches(à coups de hache du Nain), il s'avéra qu'il était bel et bien mort de peur.
Le charisme de Rialon avait fait un effet des plus inattendu, et tout le monde savait que le sort du Gobelin n'était pas dû à Rialon qui s'était contenté de pousser le phénomène à son appogée. Sneed avait des problèmes de Coeur et il ne lui restait de toute façon pas beaucoup de temps a vivre. Seul Beryllius, toujours prompt à remonter le moral, ne manqua pas de signaler au guerrier que c'était « sa sale tête » qui avait tué le Gobelin.
Rialon lui répondit en l'envoyant trois mètres en arrière avec ce qu'il considérait être une simple tape amicale qui lui ferait comprendre que sa remarque était déplacée.
Le groupe continua donc à avancer dans les profondeurs de la mine des Défias. Il arrivèrent dans une salle qui semblait être une fonderie. Les gobelins ayant entendu le vacarme causé par le combat précèdent avaient déjà invoqué des robots métalliques ce qui doubla les effectifs de ces gobelins, qui, non-content, avaient cru bon de prendre des explosifs. S'en suivit un massacre mémorable durant lequel un gobelin un peu plus grand que les autres trouva la mort en s'attaquant a Rialon. Mais ne vous y trompez pas, ce n'est autre que le nain qui le tua. Le Gobelin (pourtant pas très grand par rapport a un humain) avait en effet chargé Rialon, mais il n'avais pas vu Beryllius sur son chemin et reçut un coup de masse involontaire dans l'entrejambe. La douleur lui fit perdre conscience et il tomba dans un bain de métal fondu. (Ne vous inquiétez pas, il n'a pas souffert.)
Il y eu encore quelque combat et une porte détruite à coup de canon et, enfin, il arrivèrent en vue du bateau qui devait attaquer Hurlevent.
Toujours très vif d'esprit, le groupe arriva à une conclusion tout à fait logique.
La situation est la suivante : Le groupe a beaucoup combattu (Pas forcément avec courage mais avec, en revanche beaucoup de chance.), Il sont en face d'un bateau rempli d'ennemis armés jusqu'aux dents, ils ont un nain qui arrive a trouver des fleurs dans des toilettes pour gnomes, ils ont un canon à coté d'eux et pour finir, Ferliniath ne les avait toujours pas rejoint(Il a pas fini de fouiller les cadavres. =P).
Ils ont donc, disais-je, prit la décision qui s'imposait.
- Alors on fait quoi ? Demanda Rialon.
- Simple ! S'exclama Salamanders. On va...
- Écoute pas cet imbécile. Coupa le nain. On est là, ya des ennemis en face et on a un canon. On va charger les ennemis pour leur prendre d'autres canons afin de pouvoir encore canarder leurs cadavres !
- Après que je les ai fouillés alors ! S'exclama l'elfe qui accourait.
- Ce n'est pas vraiment ce à quoi je pensais...
- On s'en fou répondit Rialon t'façon on est pas capé intel!(ni esprit!)
Faisant preuve d'un bourinisme rare, ils grimpèrent sur le bateau, choppèrent le cuistot, tabassèrent un tauren, dépouillèrent les morts, allèrent aux toilettes, tuèrent des piafs pour finalement tiré au canon sur le capitaine du bateau à une distance exacte de 2,34[mm] du nez vert du capitaine.
Il ne resta donc plus grand chose...(de ce même nez vert du capitaine. =D)
Et enfin, vint le moment d'affronter THE TERRIBLE Edwin Vancleef.
Le combat étant d'un ridicule à couper le souffle, je ne vous le raconterais pas. (Au moins je pense aux Asthmatiques !)
Il n'y a qu'à retenir que le groupe vainquit et que personne n'en eu rien à foutre.
Pour finir ils se séparèrent et Rialon se dirigea au bois de la pénombre ou il tabassa quelques squelettes, puis il enchaîna avec la vallée de Strangleronce où il dut ramassé les pages d'un bouquin qu'un stupide nain est pas foutu de rellié.
(Connard de nain!!!)
Il partit ensuite à Tanaris où il écrasa des insectes comme quand il était petit sauf que comme lui, les insectes avaient grandis.
Il se cru aussi dans « Jurassique Park » en allant dans le cratère d'Un'goro et dans « Les bronzés font du ski » au berceau de l'hiver mais version « Un con blanc comme un cul se les pèles dans la neige ».

Ayant acquit une grande expérience des combats, Rialon retourna dans le royaume de l'est où la conscription des troupes avait déjà commencée. La légion ardente menaçait de détruire ce monde en venant de l'outreterre par la porte des ténèbres.
Le jeune guerrier toujours avide de combats s'empressa de s'enrôler parmi les troupes qui partirait dans ce nouveau monde combattre les démons.
Il se voyagea jusqu'aux terres foudroyées où il découvrit le portail démoniaque ouvert par Medivh, le prophète et dernier gardien, dans le but d'amener les orcs en Azeroth.
- Impressionnant... Fit-il remarquer.
- Tu n'as encore rien vu. Lui dit un soldat rapatrié pour blessure grave.
- C'est aussi terrible que cela ? S'enquit le guerrier.
- Les démons affluent de tous côtés et j'ai même cru apercevoir l'un des seigneurs des abîmes avant de repasser la porte.
- Seigneur des abîmes ?
- Tu découvriras bien asser vite ce qu'est un démon. Plaisanta le blessé sans conviction.
- Je l'espère... Je compte me grader grâce à leur aide. Répondit Rialon avant de courir et de franchir la porte sans même tenir compte de ses compagnons cantonnés derrière lui.
Ce qu'il découvrit lui glaça le sang. Des corps éparpillés partout, du sang jusque sur les plus hautes marches de l'escalier conduisant au portail, des monstruosités déchiquetant les soldats sans ressentir de fatigue ou de remords et une faible résistance opposée par le dernier commandant en vie dans la garnison.
Sans attendre il se lança dans la bataille, tailladant de tous côtés et se frayant un chemin sanglant jusqu'au groupe de rescapés.
Ses talents de combattants furent mis à rude épreuve, mais il réussit cependant et se laissa tomber aux côtés des soldats qui résistaient difficilement aux démons.
- Soldat ! Qui es-tu et bien que tu te batte bien, pourquoi être venu nous rejoindre ? Nous sommes condamnés et nous ne saurions rien faire que réduire leur nombre.
- Commandant ! Dit-il, se mettant au garde-à-vous. Je ne peux rester les bras croisés, sachant que vous avez besoin d'aide alors si vous êtes condamnés je le suis aussi.
- Belle paroles, mais il est triste de penser qu'un soldat si fidèle périsse ici...
- Me graderiez-vous si nous survivions ? Demanda le guerrier en plaisantant.
- Je graderais chacun des hommes présents ici si nous survivions, mais inutile de se voiler la face...
- Auriez-vous une épée à me fournir afin que je combatte à vos côtés ? La mienne s'est malheureusement trop émoussé lors de mes voyages et j'ai pu remarquer, en vous rejoignant, qu'elle n'était plus aussi destructrice qu'auparavant.
- Tenez! Lui répondit le commandant en lui tendant une magnifique épée ouvragée. Elle devrait faire l'affaire puisque son propriétaire ne pourra plus la réclamer et il serait dommage qu'une si belle lame ne serve plus de toute façon.
Empoignant l'arme, Rialon sentit une douce énergie l'envahir.
- Ah oui, elle est enchantée. Puisse-t-elle vous aider à envoyer le plus possible de ces monstres dans la tombe avant que vous y plongiez vous même.
- Il est vrai... répondit le guerrier toujours occupé a examiner la lame.
Elle était ...

à suivre

Rialon

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